想知道美国总统特朗普哪里染上病毒的吗?白宫玫瑰园! 想知道特朗普医院病房长的样子吗? 请继续往下看…… 本报记者:小玉 特朗普(Donald Trump)总统夫妇新冠病毒呈阳性的新闻,已经成为这几天的全世界头条。 那么特朗普总统夫妇哪里染上病毒的呢? 跟你说,你肯定会吓一跳: 答案是: 白宫玫瑰园! 先说说白宫玫瑰园的来历: 白宫玫瑰园紧邻白宫椭圆形办公室和白宫西翼,长约38米、宽18米。 据CNN报道,1962年约翰·肯尼迪执政期间,在当时的“第一夫人”杰奎琳·肯尼迪监管下,园艺家蕾切尔·梅隆将玫瑰园打造成了翻修前的样子。
白宫玫瑰园也是白宫举行接待活动和媒体记者会的主要场所。 你会问:特朗普夫妇怎么会在玫瑰园染上的呢? 今天的法媒专门刊登了一篇文章。 现场完全没有采取隔离措施;大家几乎都不戴口罩;几乎没有封闭的地方……一个简单的欢庆仪式,如何变成整个白宫的恐惧之地的呢? 文章说:特朗普确诊后至今,美媒梳理他的密切接触者已经至少22人阳性了! 法媒说:特朗普总统2020年9月26日在白宫玫瑰园举行了大法官提名仪式,正式任命艾米·康尼·巴雷特(Amy Coney Barrett)为大法官,接替几天前去世的露丝·巴德·金斯堡。 当天仪式上,嘉宾之间椅子甚至没有任何间隔。(有图为证) 到截至目前,已有至少7名曾参加仪式的人员相继确诊感染新冠。 据《纽约时报》梳理,现在特朗普的密接者中新冠检测阳性的分别为第一夫人梅拉尼娅、顾问希克斯、犹他州参议员迈克·李、共和党全国委员会主席罗纳·麦克丹尼尔、圣母大学大学校长约翰·詹金斯、北卡罗来纳州参议员汤姆·提利斯、前顾问凯莉安·康威,共计7人。 法媒引用美国《华盛顿邮报》的最新消息说:《纽约时报》记者迈克尔·D·希尔(Michael D Shear)等3名驻白宫记者新冠检测也呈阳性! 至此,美国的白宫花园已经俨然成为了全世界上知名度最高的集群感染地了…… 那么法国谁去现场参加了这场举世罕见的典礼了呢? 巴黎圣母院主席约翰·詹金斯神父! 据神父说,当天现场有些客人甚至有身体接触! 他现在也在为与几个人握过手而道歉…… 特朗普总统目前已经被转移到美国国家部队医院了。 特朗普入住总统病房曝光 :
独立一区,
配特殊设备!
华特里德国家军事医学中心(Walter Reed National Military Medical Center)位于马里兰州比塞大(Bethesda),总共有88栋建筑、244张病床,其中包括50张加护病房的床位。
根据今日美国报(USA Today)、英国每日邮报(Daily Mail)网站报导,川普这次入住的病房,是专为军方高阶官员和华府内阁官员保留的6间特别病房之一的总统病房,称为71号病房(Ward 71),病房内配备专属私人检查室。
71号病房内的用餐室甚至有豪华水晶灯,川普住院期间依旧可以享受一贯的奢华生活。
华特里德军医院肩负照顾国家领袖健康的重任,因此有一个特别的“医疗评估治疗部”(Medical Evaluation and Treatment Unit,METU)负责诊治正副总统。
曾担任老布什(George H.W. Bush)和克林顿(Bill Clinton)两位总统主治医师的退役少将马利安诺(Connie Mariano)写道,这间总统病房内特别配备保护性装置和通讯设备,以利总统处理国政。
这次白宫玫瑰园的集群将扩展到多远? 现在,这仍然是一个谜…… 我们且关注吧…… Coronavirus : Comment le Rose Garden est-il devenu un cluster autour de Donald Trump ? INFECTION Le président américain aurait été contaminé lors d’une cérémonie au Rose Garden. Comment ce célèbre jardin de la Maison-Blanche est-il devenu l’un des clusters les plus médiatisés au monde ? On le sait depuis ce vendredi, le président américain Donald Trump a été testé positif au Covid-19. Sa contamination a certainement eu lieu au Rose Garden, l’un des jardins de la Maison-Blanche, lors d’une cérémonie pour officialiser la nomination de la juge conservatrice Amy Coney Barrett à la Cour suprême. Absence totale de distanciation, non-port du masque, contact tactile, lieu clos… Comment une simple cérémonie a-t-elle viré en cluster et en crainte pour toute la Maison-Blanche ? Des clusters, à force, on en connaît de tristement célèbres. La cérémonie évangélique de Mulhouse en France, le match de Ligue des champions Bergame-Valence pour l’Italie ou Ischgl, station de ski autrichienne dont les hôtes auraient diffusé le coronavirus dans plusieurs pays cet hiver. Rassurons-nous tout de suite, le cluster du Rose Garden devrait être beaucoup moins funeste et causer une propagation bien moindre que ces « superclusters » qui ont semé la mort en Europe. Plus médiatique, par contre, cela semble assuré. Car si ce nouveau cluster ne compte actuellement « que » 23 cas positifs, il y a parmi eux le président des Etats-Unis lui-même. Fatalement, à l’annonce de son test positif, tous les médias américains se sont demandé où et comment l’homme le plus protégé au monde avait pu attraper le Covid-19. Et c’est ainsi que le Rose Garden est devenu, en moins de 24 heures, l’un des clusters les plus connus au monde. Cérémonie de nomination A la lecture de ces lignes, vous vous dites sûrement : « Excellent sens de la narration, mais c’est quoi, le Rose Garden ? » Il s’agit d’un des jardins de la Maison-Blanche, d’environ 40 mètres de long sur 20 mètres de large. Connu pour sa beauté et sa tranquillité, l’endroit est le théâtre régulier de conférences de presse, de cérémonies, de réceptions de sportifs américains médaillés, voire de shootings photo organisés par les présidents américains. Le 26 septembre, Donald Trump y organise une cérémonie pour officialiser la nomination d’Amy Coney Barrett à la Cour suprême. La juge a été désignée par le président pour remplacer Ruth Bader Ginsburg, décédée quelques jours auparavant. Un événement politique majeur aux Etats-Unis qui nécessite donc bien une cérémonie. Pas de masque ni de distanciation Rien d’anormal jusque-là. Sauf que le nombre de cas positifs a délié quelques langues et fait ressurgir quelques photos embarrassantes au niveau du (non-)respect des gestes barrières. C’est notamment George Conway, époux de l’ancienne conseillère du président Kellyanne Conway (présente à la cérémonie et testée positive depuis), qui, de colère, a tweeté une photo de la cérémonie. Pas de masque, et pour la distanciation sociale, on repassera également. D’aucuns pourraient défendre que la cérémonie ayant lieu à l’extérieur, le port du masque n’est pas une évidence et que les fameux gestes barrières peuvent être un peu moins stricts. Sauf que de nombreux médias américains ont montré que de nombreuses personnes testées positives suite à cette cérémonie étaient « étrangement » assises côte à côte, comme le montre le tweet ci-dessous. Vous avez dit contamination ? Serrage de main et lieu clos De toute manière, The New York Times a mis fin à ce débat, en publiant des photos d’une partie de la cérémonie qui s’est déroulée en intérieur. Une fois encore, pas de masques, et encore moins de distanciation sociale. Certains invités ont même eu des contacts physiques, selon les confidences du président de l’université Notre-Dame, le père John Jenkins. Lui aussi présent à la cérémonie et positif, il s’est excusé d’avoir serré la main de plusieurs personnes. Les médias accablent la cérémonie Si jamais le père Jenkins n’était pas passé aux aveux, d’autres éléments montraient bien les contacts entre les membres de la cérémonie étaient fréquents et tactiles (et sans même de masque), comme plusieurs vidéos publiées par le média américain Politico. Un cluster jusqu’où ? Pour le moment donc, 23 personnes sont testées positives au coronavirus. Mais sans atteindre les diffusions de Mulhouse ou de Bergame, le cluster ne va peut-être pas s’arrêter là. Et si le foyer d’infection passait du Rose Garden à la Maison-Blanche ? De nombreuses personnes fréquentant les lieux mais absentes à la cérémonie du Rose Garden ont déjà été testées positives. En salle de presse, un membre de la communication et deux journalistes ont été testés positif, selon le Washington Post. Tout comme la conseillère de Donald Trump, Hope Hicks, ou son responsable de campagne Bill Stepien. Jusqu’où le cluster va-t-il s’étendre ? Cela reste désormais un mystère, et surtout une inquiétude. 推广
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