Sur l’air du ‘
Phénix monté en
épingle’
Du vin à l’
étiquetee jaunie
Versé par de douces mains,
Les saules que le printemps reverdit
Etendent leurs branches en dehors du jardin.
Le vent d’est nous sépare ;
Les doux instants sont rares.
Nous
déplorons le sort
De ces années, vivant comme morts.
Tort,tort, tort !